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| Croire en soi, c'est déjà presque réussir ♦ ROMEO&SIOFRA | |
| Auteur | Message |
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ᖦ hey mais c'est Siofra-Isil G. Sullivan |
ᖦ INSCRIPTION : 01/08/2011 ᖦ MESSAGES : 261 | Sujet: Croire en soi, c'est déjà presque réussir ♦ ROMEO&SIOFRA Mer 3 Aoû - 12:52 | |
| Regardez-vous dans un miroir. Qui voyez-vous regarder en arrière ? Est-ce la personne que vous voulez être ? Ou bien y avait-il quelqu'un que vous deviez être, la personne que vous deviez être mais que vous avez manqué ? Est-ce que quelqu'un vous dit que vous ne pouvez pas ? Car vous pouvez. Croyez que l'amour est dehors. Croyez que des rêves se réalisent tous les jours. Parce qu'ils se réalisent. Parfois, le bonheur ne vient pas de l'argent, de la célébrité ou du pouvoir. Parfois le bonheur vient des amis et de la famille et du bonheur tranquille de vivre une bonne vie. Croyez que des rêves se réalisent tous les jours. Parce qu'ils se réalisent. Alors jetez un oeil dans ce miroir et rappelez-vous d'être heureux, parce que vous le méritez. Croyez en cela. Et croyez que des rêves se réalisent tous les jours. Parce qu'ils se réalisent - OTH- Je franchis le pas qui me séparait de dehors et de ma clinique vétérinaire, enfin notre clinique vétérinaire étant donné qu'elle appartenait aussi bien a moi qu'a mon mari. Ce matin j'étais toute seule pour gérer la clinique, Cameron ayant un rendez-vous à l'extérieure à quelques kilomètre d'ici. Je me retrouvais donc toute seule, cela ne me gênais pas du tout. Je revêtit ma blouse de travail. Et rentrais dans ma salle de consultation pour allumer l'ordinateur. Puis je descendis au chenil, pour voir si tout mes petits patient qui avait passés la nuit ici ce portait bien. Je regardais dans la première cage, c'est Monster, un beau chat tout roux qui avait fait une chute de quatre étages et qui par chance s'en était sortit avec juste une patte cassé, mais je l'avais gardée en observation juste au cas où. J'ouvris la porte et je lui gratouillais le dessus de la tête, alors qu'un sourire illuminé mes lèvres quand son ronron me parvint. Finalement je refermais la porte et allait en face, dans un box il y avait Nevada une belle husky rousse, qui elle avait eu la charmante idée de se mordre par un serpent lors d'une ballade en forêt. Heureusement non venimeux, mais assez profond et mal soigné comme les patrons ne s'en ont pas rendu compte, pour faire une infection suivit d'un apcés. J'avais donc tout nettoyée et enlevée tout l'apcé et l'infection. Je l'a câlinais pendant un moment, j'entendis la porte d'entrée de la clinique s'ouvrir. Le boulot m'appelais. Je l'ai laissée et allais voir qui c'était. Un sourire se dessina sur mes lèvres. C'était une habituée de la clinique, elle venait régulièrement pour son matou diabétique. Elle ne voulait pas faire elle-même la piqûre à son chat et donc passée régulièrement pour que nous le fassions. Je l'a fis entrer dans ma salle de consultation et par habitude elle posa le matou sur la table de consultation. J'ouvris la porte et il sortit, loin d'être affolés, habitué à présent. Il se colla contre mon ventre tout rond et je sentis son ronron alors que je lui offrais des câlins. C'était agréable. Je faisais toujours bien gaffe. J'avais un métier tout de même assez risqué dans le sens où on ne sait jamais comment l'animal peut réagir et pour une femme enceinte certain pouvait être porteur de maladie. Mais je savais que lui était un chat sain et adorable. Il s'allongea sur les tables, sur le dos et ma main vint câliner son ventre tout blanc et je commence à lui parler « Mais oui tu fais ton beau ! T'as bien raison ! ». Je préparais la piqûre, alors que le son de la porte d'entrée retentit de nouveau et encore une troisième fois. Sa y est la journée commencée vraiment. Je lui fis sa piqûre et le remis dans sa cage. Je serrais la main à sa patronne et l'a raccompagné. Je pris en note les trois clients se trouvant dans la salle d'attente. Et leur demanda de patienter quelques minutes. J'allais me laver les mains correctement. Et je redescendis dans la chenille. Je nourris Monster & Nevada et changea leur eau. Et retournais en haut. Prenant soins de me laver une fois de plus les mains. C'était quelque chose de très très important. Puis ma matinée se défila. Je vis toute sorte d'animaux, j'ai même eu trop à un iguane et une chèvre, oui oui je vous jures une chèvre. A midi dix je rentrais à ma maison. Peu de temps après Cameron arriva. Et je me blottis dans ses bras. Réclamé mon baisé du jour. On mangea tranquillement en tête en tête tout les deux. Bientôt on se sera plus en tête en tête. Nous n'allons plus être deux paires de yeux mais bien trois paires de yeux. J'étais si contente. Je respirais le bonheur. Cette après-midi Cameron me dit de rester à la maison pour me reposer comme j'avais travailler toute la matinée. Il gérerais la clinique tout seul. Je hochais la tête. Qu'il rêve j'allais pas restée chez moi. Oui je ne travaillerais pas mais j'allais allée me promener ça c'est certain. Sur les coups de quatorze trente, je quittais mon appartement accompagné de mes deux chiens. Oui nous profitions d'avoir une belle maison et les moyens pour avoir deux chiens et l'est aimée plus que tout. Tout deux était des chiens que nous avons recueillit. Et non pris dans un élevage ou quoi. Nous aimons les causes perdues parce qu'on pouvait les rendre heureux et leur donner tout ce dont ils avaient besoin. Je l'ai attachés en laisse. Et je partis vers le parc. Arrivée dans le parc, je lâchais les chiens. J'avais pris leur balle qu'ils aimaient temps. A cette heure-ci le parc était encore assez vide. Il n'étais pas encore plein et je pouvais donc bien profiter. Je marchais à reculons regardant mes chiens, je lançais la balle afin qu'il court après. Sauf que je ne fis pas gaffe qu'il y avait quelqu'un qui arrivais. Et j'ai trop reculé et je le percutais de dos. Faillit tombée au passage. Non fallait pas que je tombe maintenant. C'était pas trop le moment j'étais bientôt à la fin de ma grossesse. |
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| Sujet: Re: Croire en soi, c'est déjà presque réussir ♦ ROMEO&SIOFRA Mer 3 Aoû - 17:51 | |
| Need me a triple shot of that juice gonna get drunk don’t you have no fear. I want one bourbon, one scotch and one beer. Just one bourbon, one scotch, one beer.
On peut facilement lui trouver des défauts. Con, emmerdeur, moqueur, narcissique, impulsif, mystérieux, froid, dragueur, bordélique, vulgaire, feignant... Oui, enfin bref. Mais il est impossible de penser ces choses-là lorsqu'on le voit ainsi. Aussi doux, attentionné, souriant, gentil, innocent. Pourtant, innocent, c'est certainement la dernière chose qu'il peut être. Et, ainsi, sur Symba, son étalon noir ( un magnifique frison ), il est presque impossible de repenser au connard qui sommeil en lui. Le cheval était incroyablement bien débourré, obéissant au moindre petit geste, et à la voix. Néanmoins, depuis sa semaine de repos, il avait du mal à assimiler les ordres. Il fallait répété, encore et encore, pour qu'il comprenne. Le centre-équestre était fermé depuis seulement une heure, Romèo pouvait donc chevaucher son étalon, sans porter de bombe. Chose qu'il détestait, mais qu'il devait faire lorsque ses clients étaient présents. Mais lorsqu'il la mettait, sa coiffure en prenait un sacré coup.
Les changements de pied au galop se faisaient difficilement, malgré le nombre de demandes faites par Romèo. Symba accéléra le galop et souleva ses postérieurs. Aussitôt, le brun resserra légèrement les rennes et l'animal se stoppa. Il soupira. « J'vois qu'aujourd'hui t'as pas envie d'bosser. » Symba éternua. Il reprit le pas en direction de la sortie de la carrière. Ils se rendirent au box vide de l'étalon ( box isolé of course, mieux vaut ne pas le mettre à côté des juments, il est un peu comme son maître, un coureur de jupons. ) Il prit son temps pour s'occuper de son cheval. Il le brossa, le cajola, lui offrit plusieurs carottes et finalement, le quitta à contre-cœur après lui avoir fait la dernière caresse de la journée. Lorsqu'il rentra chez lui, il ne prit même pas le temps de chercher Bonnie et se doucha directement. Il remplaça son pantalon d'équitation noir par un jean, sa chemise blanche par un tee-shirt gris et ses boots par de belles chaussures italiennes. Il attrapa ses clefs de voiture, son portable et sortit rejoindre son auto. Aussitôt qu'il fut monté dedans, il alluma la radio et tomba sur le disque des chansons du film Spirit. Romèo roula aussi vite qu'il le pouvait et arriva très rapidement au parc. Se garant soigneusement - cette fois-ci -, il stoppa la musique, sortit et ferma à clefs le 4x4 noir.
Se demandant sur quelle jolie femme il allait encore tombé, il pénétra dans le parc et se mit à marcher au milieu des enfants qui jouaient, des couples qui s'embrassaient et des personnes solitaires lisant, écrivant, dessinant, contre un arbre. Un ballon heurta délicatement son pied, et relevant le regard, il vit à quelques mètres un petit garçon, visiblement intimidé. Romèo leva ses yeux au ciel et relança le ballon à l'enfant. Il fit trois ps en arrière et se retourna. Après deux pas, il heurta une femme, qu'il eut le réflexe de rattraper. Lorsque le beau brun se rendit compte de qui il avait rattrapé il remit Siofra sur ses deux jambes et lui adressa un faux regard plein de reproches. « Il voudrait mieux regarder devant soi, lorsque l'on porte un ventre aussi gros. » Finalement, il afficha un sourire en coin, en guise de salut.
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ᖦ hey mais c'est Siofra-Isil G. Sullivan |
ᖦ INSCRIPTION : 01/08/2011 ᖦ MESSAGES : 261 | Sujet: Re: Croire en soi, c'est déjà presque réussir ♦ ROMEO&SIOFRA Jeu 4 Aoû - 15:56 | |
| Il y a une marée dans les affaires des hommes, prise dans son flux elle porte au succès. Mais si l'on manque sa chance, le grand voyage de la vie s'échoue misérablement sur le sable. Or aujourd'hui, nous sommes à marée haute. Prenons le flot tant qu'il est favorable ou tout ce que l'on a risqué sera perdu.- Shakespeare- J'avais passé plus de six ans de ma vie dans une école à apprendre mon métier. Ce métier que j'avais toujours rêvé faire et ce métier que j'aimais tant. J'avais toujours voulue travailler dans la médecine, mais je ne supportais pas forcément beaucoup les hôpitaux depuis que ma maman était décédé, j'en gardais un si mauvais souvenir que je ne voulais pas. Et de toute façon je ne voulais pas travailler à soigner des hommes je voulais soigner des animaux. Je me rappel que pour noël ou mon anniversaire je demandais toujours un bouquin sur les animaux que je lisais avec une attention particulière. Et de ce fait quand il a fallut choisir dans quelle école je voulais allée, le choix avait été vite fait. L'école vétérinaire. J'avais étudiée comme une folle des heures durant pour avoir rentrer dans l'école, réussir le concours d'entrée. Je l'avais réussis et j'avais pu franchir les portes de l'école. Sans ça en fait ma vie ne serait certainement pas ce que je suis aujourd'hui. Pourquoi ? Parce que si je n'avais pas l'école je n'aurais certainement pas revue Cameron, je ne lui aurais pas foncé dedans, mes yeux n'auraient pas recroisés les siens. Et rien de tout ce que je suis avec lui n'aurait eu lieu. Rien. Je ne serais peut être pas marié, je ne serais peut être pas enceinte. Qui sait ce que je serais. J'avais passée ma matinée dans ma clinique vétérinaire, à soigner, rassurer, sourire, plaisanter, expliquer sérieusement les choses. En clair mon travail de chaque jour. J'avais la chance d'avoir ma propre clinique avec Cameron, alors on pouvait aussi bien travailler ensemble que ce relayais. En ce moment fallait bien avouer que c'était lui qui travailler le plus. J'étais beaucoup moins présente. M'attelant plus à prendre soins du bébé qu'autre chose. Mais je suis certainement que même jusqu'à mon dernier mois au moins une fois par semaine je passerais ma journée dans cette clinique avec les clients et mes patients. Ma matinée terminée j'étais rentrée chez moi retrouver mon mari qui m'avait manqué durant c'est quelques heures. Il m'avait demandée de rester tranquille de l'après-midi. Mais bien sûr, il me connaissais très bien et il savait que je ne restais jamais tranquille. Je pris les chiens, leur balle et en avant le parc. J'étais très concentré dans la tâche avec mes chiens. Le parc encore pas rempli à l'heure. Oui il y avait des personnes mais ce n'était rien comparé à certaine heures. Là on pouvait le qualifier de calme. Je marchais à reculons, le sourire aux lèvres. Juste au moment où je lançais la balle, je heurtais quelqu'un de dos. Je me sentis prendre l'équilibre. Pas bon du tout, pas bon du tout. Heureusement pour moi celui que j'avais heurté eu le réflexe de me rattraper. Mon sauveur qui n'était autre que Roméo-Scar. Oui je sais très original comme prénom mais c'était chouette les prénoms originaux comme eux. Il me remit sur mes deux jambes. Je retrouvais l'équilibre. Il m'adressa un regard plein de faux reproches. Bah oui il se voulait pas gentils mais il l'était, il suffisait de le connaître avec son cheval pour le savoir. Il me dit « Il voudrait mieux regarder devant soi, lorsque l'on porte un ventre aussi gros. » . Il afficha finalement un sourire en coin. Par contre moi je lui offris un grand sourire. Je le regardais et je lui dis loin de prendre mal ce qu'il venait de me dire « Bien dans les trois prochains mois je ferais bien gaffe de bien regarder devant moi !! En tout cas merci beaucoup ! Tu m'as évitée beaucoup d'inquiétude si j'étais tombé ! ». Grand sourire. Maïko me ramena la balle. Au départ je ne l'avais pas vue. Et pour me dire qu'il était là, il lâcha un gros aboiement. Mina arriva et comme elle était elle s'assit au pied de Roméo. Je lui adressais un sourire gêné. Alors que je pris la balle de la gueule de Maïko. Je repris la parole « Désolé Mina aime les inconnus et s'assoir à leur pied pour des câlins ! Très mauvaise chien de garde mais une amour de chienne je l'ai recueillis alors qu'elle n'était qu'une petite chienne de trois mois ! Elle était toute seule dans la rue, je l'ai pris et voilà ! Va chercher Maïko ! ». Je lançais la balle et il partit à tout vitesse vers la balle suivit de près par la miss qui avait apparemment décidé que c'était là qui aurait la balle cette fois. Je regardais Roméo et je lui dis « Tu ne travail pas aujourd'hui ? Ton beau Symba se porte bien ? ». J'avais connu Roméo, grâce à son cheval. Un beau frisson noir. Il était tout simplement magnifique. Il avait des coliques et j'avais été appeler. Je l'avais soigné. Et j'avais vue Roméo très inquiet pour son cheval. Il avait été très gentil et blagueur avec moi. Et il aimait son cheval ça c'était vue. Puis je l'avais recroissais dans la rue et il était tout l'opposé de ce qu'il m'avait montré. Depuis ce jour je me suis dis qu'il fallait qu'il soit comme ça tout le temps. C'était tellement plus agréable. Mais la tâche était compliquée. |
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| Sujet: Re: Croire en soi, c'est déjà presque réussir ♦ ROMEO&SIOFRA Jeu 4 Aoû - 17:22 | |
| Need me a triple shot of that juice gonna get drunk don’t you have no fear. I want one bourbon, one scotch and one beer. Just one bourbon, one scotch, one beer.
Qui était-il réellement? Cet emmerdeur de première ou ce mec gentil, blagueur et serviable? Quelle face de lui était la vraie? Peut-être les deux, peut-être aucune. En tout cas, la première face qu'avait vu Siofra était la meilleure. Celle qui lui donna cette si bonne impression sur Romèo. Mais il faut dire que Symba était en quelque sorte son meilleur ami, même si c'est plutôt naïf de dire ça. Car un cheval ne vous considéra pas comme son meilleur ami. Depuis ce jour où Siofra aida l'étalon à se remettre sur ses quatre fers, cette dernière pensait que Scar était un mec bien. Mais lorsqu'elle la revu, il était l'opposé total. Maintenant, elle semble s'être mis en tête de le faire changer, de montrer au monde son côté sympathique. Quelle idée.
La jeune femme était maintenant revenue sur ses deux jambes, et elle avait offert à Romèo un grand sourire. Chose qui ne choqua guère le brun, car ce dernier savait Siofra comme quelqu'un de souriant. « Bien dans les trois prochains mois je ferais bien gaffe de bien regarder devant moi !! En tout cas merci beaucoup ! Tu m'as évitée beaucoup d'inquiétudes si j'étais tombée ! » Ce dernier afficha un sourire fière. S'était dans ses habitudes, de sauver des jolies femmes - même quand celles-ci sont mariées et enceintes - Un des deux chiens de Siofra vint s'asseoir aux côtés de Romèo. Ce dernier l'observa longuement et finit par lui caresser le haut du crâne. Scar attirait facilement les animaux, car il les aimait beaucoup. peut-être même avait-il plus de respect pour eux que pour les humains. Mais tant qu'il n'attirait pas les chihuahuas. Le deuxième chien aboya, rendant la belle à sa maîtresse. « Mais de rien. » répondit-il en souriant. Il avait une drôle de façon de sourire. Son regard n'accompagnait jamais ses sourires, pas comme les personnes heureuses. Son regard était toujours sérieux. C'est d'ailleurs, une chose assez difficile à expliquer comme regard.
« Désolé Mina aime les inconnus et s'assoir à leur pied pour des câlins ! Très mauvaise chien de garde mais une amour de chienne je l'ai recueillis alors qu'elle n'était qu'une petite chienne de trois mois ! Elle était toute seule dans la rue, je l'ai pris et voilà ! Va chercher Maïko ! » Siofra lança la balle à nouveau au chien et ce dernier couru la chercher sans même hésiter. La main de Romèo caressait toujours la tête de la chienne appelait Mina. Ne sachant quoi répondre, Scar se contenta d'un sourire. Il aurait très bien pu dire qu'il ne comprenait pas pourquoi elle était aussi attentionnée avec les animaux, mais ça n'aurait servi à rien. Elle l'avait déjà vu bien pire que ça. « Tu ne travail pas aujourd'hui ? Ton beau Symba se porte bien ? » La belle brune savait drôlement bien s'y prendre pour essayer de refaire sortir la meilleure partie de Romèo. Et elle réussit pendant quelques secondes, car Scar afficha enfin un vrai sourire. Mais il fut bref, car il comprit. Il plongea ses mains dans ses poches et répondit en haussant les épaules. « Il a quelque peu du mal à obéir, en ce moment. Mais il va bien. » Et finalement, il tenta de changer de sujet. « Et toi, pas trop lourd de devoir supporter des gens super inquiets pour leurs animaux? » Il prononce " super inquiets " en prenant un air voulant dire qu'il trouvait ça ridicule. Mais bourde, car il l'avait aussi été, super inquiet.
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ᖦ INSCRIPTION : 01/08/2011 ᖦ MESSAGES : 261 | Sujet: Re: Croire en soi, c'est déjà presque réussir ♦ ROMEO&SIOFRA Ven 5 Aoû - 13:23 | |
| Personne ne peut pendant très longtemps se montrer un visage à lui-même et en présenter un autre au reste du monde sans finir par s'y perdre et se demander lequel des deux est vrai.- Nathaniel Hawthorne- Aucune personne ne peut être définit réellement. On ne peut pas dire, elle elle est comme ça comme ci et elle le restera ou lui se comporte ainsi et comme ça. L'humain est un être changeant, il change selon ce qu'il a vécut, par rapport à ses fréquentations, son choix de vie, ses choix tout cour, un endroit ou une personne fait que l'humain se comportera différemment. Si on le met avec tel personne il réagira de cette façon, mais si on le met avec cette personne il réagira tout a l'opposé. Personne ne peut réellement se définir, dire on ferais ça ou ça. Non parce qu'on ne sait pas. On ne sait rien. Notre caractère n'est qu'un masque. Un masque pour nous définir. Alors qu'on n'est pas définissable. On peut être un vrai ange, une personne adorable et pourtant si on se retrouve avec une personne qui nous revient pas on peut se montrer méchant. Alors qu'en nous on aurait pas pensée avoir une once de méchanceté. Si une personne touche au être que vous aimez, on n'oublie qu'on est contre la violence et tout ça et on agis, on protège. C'est l'instinct. On peut aussi avoir deux facettes mais a un moment donné les deux facettes risques bien d'être dévoilé car c'est ce qu'on est. Les deux en même temps. Ce sont des choses qui font réfléchir, qui sont très philosophique, mais ce sont des choses concrète et réelle sur ce qu'est réellement l'être humain. Je me retrouvais là dans ce parc avec mes deux chiens et très bientôt Roméo. Oui je l'ai percuté et il a eu la meilleure idée qui soit de me rattraper. Bon réflexe. Et m'évitais ainsi des problèmes et des inquiétude. Que je n'avais pas besoin d'avoir, en plus de toute celle engendré par le fait d'avoir un bébé. Je le remerciais parce que j'étais gentille et polie. Et parce que derrière son masque de mauvais garçon, je le savais être un brave homme. J'avais eu la chance de le connaître sur son lieu de travail. Et il était bien un tout autre homme que celui qu'on croisait dans la rue. Il était deux personnes dans une seule âme. Il me dit de rien avec ce petit sourire. Sourire et regard qui me laissais souvent perplexe. Roméo était une personne bien compliqué, il y a beaucoup de chose à apprendre sur lui, à réfléchir, c'était bien dur de le cerner. On peut le voir a son travail tout souriant sincère, blagueur, jovial. Et le voir dans l'après-midi dans un café et avoir a faire a un tout autre homme. C'était juste Roméo. Et je m'étais mis en tête depuis ce jour là de le faire changer. De le rendre partout comment il est au centre équestre. Ceux qui ne le connaisse pas au centre équestre doivent le prendre pour un bad boy emmerdeur et con. Mais j'avais vue son bon côté et j'étais bien décidé à le faire être comme ça partout. Tâche compliqué il va sans dire hein ! Mes chiens nous avait rejoint. Mina s'installant sur les pieds de Roméo sans gêne. Une chienne adorable adorant tout le monde. Je l'avais recueillie de dehors tout comme Maïko et tout comme les chats qu'on avait à la maison et la tortue dans le jardin. On avait même faillit avoir une chèvre un jour. Je relançais la balle et les chiens filèrent. Ils nous laisserais un moment seul, trop occupé pour ce bagarrer la balle ou réclamer des caresses aux passants. Et avec un jolie sourire je lui demandais comment allait Symba. Je savais très bien que c'était ce qui le rendait gentil et agréable. C'était, oui on peut dire, son point sensible en quelque sorte. Et je le savais parfaitement bien. D'ailleurs le sourire qu'il afficha complètement différemment des autres me le prouva. Malgré que cela fut très cour. Il n'était pas dupe et il savait. Plongeant ses mains dans ses poches, haussant les épaules il me dit « Il a quelque peu du mal à obéir, en ce moment. Mais il va bien. » . Je n'eus pas le temps d'ouvrir la bouche pour répondre, qu'il changea de sujet. Malin dis donc « Et toi, pas trop lourd de devoir supporter des gens super inquiets pour leurs animaux? » . Il avait dit le super inquiet, genre moi je suis jamais inquiet pour mon animal. Mais bien sûr j'allais te croire. Je fronçais légèrement un sourcil et le pointait un instant du doigt, chose qui voulait tout dire, dans le genre, te fiche pas de ma tête. Et je lui répondit finalement « Évidemment que non ce n'est pas lourd du tout ! Je rassure autant l'animal que le maître !! Et je te rappel – juste au cas où où tu l'aurais oublié – toi aussi tu as été super inquiet pour ton cheval ! ». L'accusant du regard gentiment. Et je poursuivit « T'as pas a faire ton monsieur sans coeur avec moi Scar ! Je sais comment tu es et comment tu peux être ! Tu as un cœur et je le sais ! Alors s'il te plaît refait moi ce petit sourire que tu as fais quand j'ai parlé de Symba ! Tu sais ce sujet que tu as très vite mis de côté ?! ». Je lui fis mon petit regard de cocker, comme une gamine réclamant quelque chose qu'elle n'est pas sûr d'avoir. Mais qui fait tout pour avoir un oui, ou obtenir ce qu'elle veut. Néanmoins j'étais au bord du fou rire et ça ce voyais aussi. |
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| Sujet: Re: Croire en soi, c'est déjà presque réussir ♦ ROMEO&SIOFRA Sam 20 Aoû - 15:05 | |
| Need me a triple shot of that juice gonna get drunk don’t you have no fear. I want one bourbon, one scotch and one beer. Just one bourbon, one scotch, one beer.
Oui, le genre humain est extrémement compliqué. Romèo est un des nombreux exemples sur cette Terre. Parce qu'il n'y pas que lui, évidement. Cette planète abrite beaucoup de fous, de double personnalités, d'emmerdeurs et de connards. Et à force, les gens en voient tellement qu'ils ne sont même plus supris et commencent à les comprendre. C'est surement ça le plus gros problème des personnes dérangées. Elles deviennent moins incompréhensbles. C'est pour cette raison que Romèo innove, en renforcant son côté " humour noir " et son côté mystérieux, qu'il garde même avec ses amis, et pour finir, un côté enfantin, assez prononcé, qui lui fait prendre la vie comme un jeu. Un jeu dans lequel il ressort toujours gagnant. Peut-être un jour ça changera, mais Scar reste quelqu'un de très intelligent, de malin et de fourbe. S'arrangeant toujours pour avoir le dessus, il n'hésite pas à mettre carrément des plans au point. Mais revenons à cette rencontre surprise au parc. Résumons ; Romèo se baladait tranquillement, jusqu'au moment où il heurta une de ses connaissances enceintes. Il la rattrapa, la remit de bout, caressa son chien, et dévia une conversation qui pouvait le mener à la perte de sa réputation. Superbe journée.
Néanmoins, Siofra était une femme franche et persevérante. Alors elle pointa du doigt le jeune Scar, lorsque celui-ci se plaigna des personnes s'inquiétant pour leurs animaux. Aussitôt, Romèo haussa un sourcil, l'air plus sérieux et son sourire ayant disparu. « Évidemment que non ce n'est pas lourd du tout ! Je rassure autant l'animal que le maître !! Et je te rappel – juste au cas où où tu l'aurais oublié – toi aussi tu as été super inquiet pour ton cheval ! » Ce dernier sembla se crisper sur place et réprima néanmoins un sourire. « Évidemment que non ce n'est pas lourd du tout ! Je rassure a« T'as pas a faire ton monsieur sans coeur avec moi Scar ! Je sais comment tu es et comment tu peux être ! Tu as un cœur et je le sais ! Alors s'il te plaît refait moi ce petit sourire que tu as fais quand j'ai parlé de Symba ! Tu sais ce sujet que tu as très vite mis de côté ?! » Scar fronça les sourcils, feignant de ne pas comprendre de quoi Siofra parlait. Il vit néanmoins son air de cocker. Il haussa les épaules, baissa le regard afin de prendre son paquet de Malbora et d'en extraire une cigarette. Il chercha son briquet, réfléchissant intérieurement à la réponse qu'il pourrait offrir à la brune. Sa clope allumée, il en tira une taffe et reprit, aussi naturelement que possible. « J'vois pas de quoi tu parles, et cesse de me regarder de cette façon, à moins que tu veuilles que je te tende une pièce. » Il sourit, espérant que Siofra oublierait rapidement le sujet embarassant qu'était Symba. Mais Romèo savait parfaitement que ce ne serait possible alors il eut un soupire et poursuivit son discours. « Symba n'est qu'un cheval, et si je me suis inquieté la dernière foi, s'était seulement car beaucoup de mes clients sont attirés par le "duo" que l'on forme. On remporte tous les concours, ça attire forcément des gens. »
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